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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 23:26

Bonsoir,

 

Non je n'ai pas oublié que j'avais un blog, loin de là.

Simplement j'ai choisi de profiter à fond de tous les changements intervenus en peu de temps dans mon existence. La vie terrestre peut avoir certains attraits irrésistibles. Le partage peut aussi se présenter autrement que par l'écrit ou par les discussions sur l'évolution du monde.

 

Certains projets qui étaient prioritaires le sont toujours mais avec une transformation profonde de ce qu'ils devaient être. J'intègre d'ailleurs encore aujourd'hui, de nouveaux éléments qui en retardent d'autant la matérialisation.

 

Je m'étonne encore des cadeaux surprenants de l'Univers pour moi. Les clins d’œil sont particulièrement nombreux. Un ami très cher a obtenu une invitation pour 2 à un vernissage prévu 2 jours après mon anniversaire.

Autre exemple, je regardais sur un site internet les sacs à main pour me renseigner avant d'investir car je n'avais l'intention d'acheter prochainement. En effet, je sais ce que je veux et suis donc très difficile. Résultat, j'ai trouvé un sac à main portant l'intitulé "femme d'affaires" qui me convenait parfaitement avec ses nombreux rangements intégrés. Je devrais avoir l'air organisé quand j'irai présenter mon projet.

Toujours sur la toile, je me renseignais sur les prix du mobilier (c'est préférable d'évaluer ses besoins pour établir son plan de financement, et autres documents comptables). J'ai trouvé, dans ma ville natale, un bureau en verre à un tarif plus qu'abordable qui m'a plu. Le vendeur s'est révélé être un militaire (sourire cosmique) qui voulait traiter l'affaire avant de partir en congés... dans le secteur où je compte m'installer dès que possible. Mes parents n'ont même pas eu à se déplacer, il s'est proposé de leur déposer le meuble chez eux... dès demain ! Visiblement quand la fluidité se met en place, les actions sont très rapides.

 

J'essaie toujours de mettre mes actions en phase avec mes idées, d'où le choix du bureau avec des plaques de verre puisque je veux travailler de manière transparente. Je déteste changer de sac à main donc quand cela se produit c'est que le précédent est devenu inutilisable. Cette fois non, il n'est juste plus adapté à mes besoins, mais pas question de le jeter, je l'ai offert à ma Maman qui l'a trouvé très à son goût. De même, mes placards, mes bibliothèques continuent à subir une cure d'amaigrissement pour laisser place soit à rien, soit à plus proche de mon présent et de mes besoins et envies actuelles. Je donne ou jette si c'est vraiment en trop mauvais état. Oui je confesse que je ne revends pas mais cet exercice là est prévu prochainement.

De même, je n'imagine pas acheter neuf tout ce qui va être nécessaire pour ma nouvelle activité professionnelle, d'où la consultation de sites spécialisés dans l'occasion. La décroissance passe aussi par le recyclage de l'existant. Je me surprends à vouloir davantage de sobriété aussi au quotidien.

 

Ainsi le changement de sac m'oblige à faire le tri dans mes affaires, à revoir ce qui est vraiment indispensable à transporter avec moi ou pas. Le nettoyage de l'ancien pour ne conserver que ce qui convient à présent est donc toujours à l’œuvre.

Mes récents soucis de santé m'interdisent de continuer la danse irlandaise tant que la guérison n'est pas effective. J'ai donc pris du poids et du gras. Ma collègue m'a proposé de faire 15 minutes de sport au bureau. Elle n'a pas persévéré, moi si ! J'ai concocté un petit programme mêlant effort physique, qi qong et étirements. J'essaie de le suivre tous les jours où je n'ai pas d'activité physique autre prévue et si je m'en sens la force. Le respect de mon corps passe aussi par le respect de ses rythmes et de ses limites. Je me sens mieux quand j'en ai fait et les résultats se font sentir sur la masse musculaire. Je travaille donc toujours le sens de mon écoute interne.

 

Et vous, la dernière fois que vous avez écouté votre petite voix intérieure, c'était quand ?

 

Amicalement,

S.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 21:38

Bonsoir,

 

Cette année pour la première fois depuis que j'ai vraiment plongé dans l'énergétique, je ne ferai pas ma lettre rituelle au Père Noël.

Je trouve que cette invention du marketing est trop lié à l'esprit chrétien de noël pour que je continue à cautionner par ma lettre ces énergies du passé.

De plus, la date a été choisie pour couper l'herbe sous le pied aux païens qui, eux, fêtaient l'arrivée du solstice. Jésus serait né au printemps il me semble, donc pas du tout en décembre.

Enfin ayant pris l'habitude de faire des commandes quotidiennement, voire sans y penser http://changersoimemepourchangerlemonde.over-blog.com/des-commandes-la-suite, j'avais abandonné l'idée.

 

Finalement j'ai trouvé ça trop bête de renoncer à ce rituel qui m'oblige à réfléchir plusieurs jours à ce que je veux vraiment dans ma vie. Je m'accorde assez difficilement une pause et ai la fâcheuse tendance à rester dans le flot du quotidien. Aussi cette occasion là en vaut une autre et a l'avantage de la régularité. Je reviens sur l'année écoulée, établis mon bilan sur ce que j'ai aimé, appris, compris, détesté, dépassé, ...

Enfin je décide où seront mes priorités, mes axes de travail (enfin ce que j'en perçois) pour l'année qui s'ouvre.

 

Alors pour revenir au rythme naturel, cette année, je vais faire une lettre pour le solstice et donc m'appuyer sur l'énergie (particulièrement intense cette année) de l'hiver pour émettre mes vœux.

 

Et vous, quand avez-vous réfléchi sur vos vrais désirs pour votre avenir pour la dernière fois ?

 

Amicalement,

S.

 

 

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 22:42

Bonsoir,

 

Pardon de vous avoir "abandonné" mais ma vie a été fertile en rebondissements depuis la rentrée. L'envie de partager n'était plus là, le temps a manqué également.

 

Je m'efforce de trouver ce que je pourrais bien retenir de tous les événements qui se produisent dans mon existence. La tâche est parfois ardue. Si les choses viennent tout simplement à moi souvent. Ce n'est pas toujours vrai.

Je garde au fond de mon cœur des souvenirs et des gens qui me sont chers dont j'espère parfois qu'ils nourrissaient aussi ce type d'affections. Juste des rappels de moments rares et de personnes tellement magnifiques. C'est une partie importante de mon jardin secret que je dévoile très peu. Beaucoup seraient surpris d'y figurer.

Je ne livre pas les secrets que j'y conserve. Je pensais que tous avaient ce type de comportements. Comme vous l'avez compris, je m'aperçois que ce n'est pas le cas, notamment pour des proches qui préfèrent vendre leurs joyaux que d'affronter leurs peurs.

 

Souvent j'ai l'impression d'être effrayante car je suis capable de prendre des décisions extrêmement difficiles et m'y tenir. On oublie souvent que j'annonce les informations aussi justement que je le peux. La dissimulation ne fait pas partie de mes défauts. On me reproche d'être trop honnête.

 

Aujourd'hui j'ai appris, de manière malveillante qui plus est, que quelqu'un que j'estimais, avait souillé ces moments si fragiles et si peu nombreux où je suis moi vraiment, ceux qui parlent de confiance totale et de respect de l'autre.

 

Aujourd'hui j'ai perdu un ami. C'est son choix, je ne le discuterai même pas. Je ne lui retire pas mon affection car elle est inconditionnelle mais il est sorti du lot de ceux dignes de ma confiance. J'ai remercié la femme qui m'a averti de ce fait (à son corps défendant).

Elle a beau avoir voulu me blesser, elle me rend un fier service en attirant mon attention sur le nécessaire nettoyage des vieilles énergies qui stagnaient dans ma vie.

 

La leçon est sévère mais juste. Pourtant ce soir j'ai mal d'avoir perdu un être que j'aime et dont le contact n'est plus souhaitable pour moi.

 

Et vous, c'était quand votre dernière leçon mémorable ?

 

Amicalement,

S.

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14 septembre 2013 6 14 /09 /septembre /2013 23:59

Bonsoir,

 

Voici quelques semaines que je suis attentivement l'agitation sur la blogosphère féministe.

N'ayant pas le talent de l'Elfe sur http://lesquestionscomposent.fr/ ou de Diké que j'ai découvert à cette occasion http://dikecourrier.wordpress.com/2013/09/05/appel-citoyen-contre-incitation-viol-internet, je me fais juste écho d'une initiative qui me semble juste.

 

Lire les commentaires est toujours intéressant. J'avoue j'admire ces personnes qui osent s'exprimer en public sur un sujet qui dérange. C'est un instantané précis de ce que la culture du viol et son ami le patriarcat influencent encore tellement la société actuelle. Sur ces blogs, ne s'expriment que des gens qui maitrisent déjà les codes écrits et qui osent mettre en avant leur opinion. Il reste donc encore beaucoup de travail à réaliser pour atteindre une égalité réelle entre hommes et femmes, entre enfants et adultes. La domination des uns sur les autres, perçus comme plus faibles, passe aussi par la soustraction de l'intégrité corporelle de l'autre.

 

Je me sens proche de ce combat parce qu'il faut bien dire que parfois les statistiques croisent votre vie de manière bien trop proche.

J'aurai aimé utiliser un autre terme que celui de combat car cela encourage des notions d'agressivité et de violence que j'aimerais grandement changer. Malheureusement je n'en trouve pas d'autre qui colle autant à cette réalité.

J'ai lu attentivement ce site http://memoiretraumatique.org/memoire-traumatique-et-violences/violences-sexuelles.html

Il est un rappel que les valeurs affichées par la société sont juste des opérations de communication quand on regarde les dates des lois sanctionnant ses abus. J'avoue mon écœurement face à la bienpensance ambiante qui fait des ravages.

Cette société qui préfère les apparences à la solidarité et à la compassion me laisse plus que perplexe. Les apparences ne tiennent pas chaud en cas de grave souffrance ! Certes cela revient à dire son refus, à ne plus faire semblant mais est-ce plus cher que de laisser les autres seuls face à leurs fantômes ?

 

Un de mes pires souvenirs est d'avoir expliqué à un homme charmant, délicieux, la trentaine, ayant tout compris aux femmes, à leur corps, à leurs désirs, un homme socialement intégré et sur le point de se marier, qu'il avait agressé sexuellement une enfant de 13 ans. Il a mis du temps à comprendre où j'avais pu imaginer cela dans le récit qu'il m'avait fait d'un épisode marquant de sa vie. Hélas c'était simplement une analyse de ma part. Il a fini par admettre que j'avais vu juste, que son comportement n'avait pas été acceptable du tout. A l'époque des faits, il avait 13 ans lui aussi. Il a certainement évolué depuis cette révélation. Je l'ignore car il n'a pas supporté de continuer à côtoyer celle qui l'avait mis face à l'innommable, l'insoupçonnable : sa face cachée et violente.

 

Et vous, c'était quand votre dernière indignation ?

 

Amicalement

S.

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 14:18

Bonjour,

 

Récemment, j’ai compris jusqu’où peut se cacher l’envie de nous faire évoluer de nos guides.

 

Voici l’histoire : bien fatiguée un matin, j’avais renoncé à porter la même jupe que la veille. Je n’avais pas envie de réfléchir longuement (comprendre plus de 2 mn) avant de me décider. J’avais donc opté pour le jean, manquait le corsage associé. J’ai ouvert la penderie, attrapé le premier t-shirt dont le coloris s’accordait au reste de ma tenue et au moment de fermer la porte, un grand bruit s’est fait. La barre sur laquelle reposait la moitié de mes habits s’est effondrée sous mes yeux.

J’ai donc tout ramassé et ai tout remis en place une première fois… Je vous laisse imaginer le résultat puisque j’ai eu à nouveau un tas de vêtements entassés à mes pieds. J’ai alors procédé à un tri aussi rapide que définitif. 2 cintres en moins et quelques idées plus tard, mon placard présentait à nouveau un air ordonné. Une autre session de rafraichissement de garde-robe est déjà prévue.

 

Faire le deuil de ce qu’on a été et de ce qu’on n’est plus n’est jamais simple, de plus j’avoue avoir la fâcheuse tendance à conserver pour ne pas jeter. J’ai actuellement une pochette de choses à donner. Je pense faire le tour des copines avant de donner soit dans une organisation caritative soit dans le local pour encombrants de mon immeuble.

Je n’attends pas d’avoir tout fini avant de sortir ces objets chargés d’anciennes énergies. Je m’en débarrasse au fur et à mesure afin de bénéficier d’un appel d’air pour continuer le rangement et le tri entre l’utile et le surplus non indispensable.

 

Étant de nature très curieuse, j’ai ainsi accumulé beaucoup de fournitures pour des loisirs créatifs. Un grand coup de vent va également frapper dans ce secteur. Je n’exclus pas non plus de me débarrasser de meubles. Pour ces articles, j’ai testé un filon un peu contraignant mais assez efficace : http://donnons.org/ ! Avantage : on peut choisir à qui on donne. J’avais privilégié la proximité géographique et la réactivité.

Ne pas garder ce qui nous renvoie à nos échecs ou à nos projets inaboutis est assez salutaire. En effet, conserver chez soi le rappel de cela n’aide pas à se projeter sereinement dans l’avenir.

 

Je pense aussi investir dans de petits meubles à roulettes afin de pouvoir rester mobile et adaptable au plus près de ma réalité quotidienne. Pour les livres et les ouvrages en cours, cette solution semble avantageuse. Le coût est modique et le montage est assez simple. Je songeais aussi à cela pour les enfants et leurs jouets favoris. De plus ça ne gênera pas le ménage, à l’inverse du coffre à jouets et autre mobilier classique.

 

Le tri dans les affaires des enfants est assez difficile car souvent les parents lui ont offert ce qui leur plaisaient à eux. Par exemple : un garçon qui possède une collection de playmobil alors qu’il n’aime que les billes. Papa a beaucoup joué avec le premier dans son jeune temps… Le sortir de la maison familiale revient aussi à tirer le trait sur ce rêve d'enfant idéal, copie de soi même, qui n'existe quand dans les projections de sa famille !

 

Et vous, c'était quand votre dernier ménage... de printemps ?

 

Amicalement,

S.

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20 août 2013 2 20 /08 /août /2013 00:10

Bonsoir,

 

Les vacances sont passées pour moi et elles ont été riches en émotions et en purifications.

J'ai tout de même pris le temps de m'occuper de moi. J'avais parlé de mes projets ici : http://changersoimemepourchangerlemonde.over-blog.com/quand-la-psychologie-guide-vers-les-th%C3%A9rapies-%C3%A9nerg%C3%A9tiques et aussi là : http://changersoimemepourchangerlemonde.over-blog.com/surprise-je-dois-couper-le-cordon

 

Je n'ai pas été déçue. La technique utilisée est très efficace. J'avoue je n'ai pas encore pu faire ma part de travail (au mois d'août beaucoup de magasins sont fermés, même ceux dont j'aurais pourtant bien eu besoin). Je prévois de m'en occuper à la rentrée.

 

J'ai profité de l'occasion pour replonger dans l'histoire familiale et là c'est fou ce que j'ai entendu comme choses sordides, épouvantables, ... Toutes les familles ont leurs moutons noirs mais j'avoue avoir eu l'impression d'être tombée sur un élevage. J'ai donc renoué contact avec une partie de ma famille. Les rencontres se sont passées sans haine, ni rancœur et encore moins rancune. J'ai tellement changé que tous ces gens me semblent loin, un peu comme des fantômes perdus dans la brume.

 

J'ai compris tant de choses à propos des conflits que m'habitent : héritage familial ou choix d'incarnation au sein d'une famille porteuse de ce type de problématique ?

L'apaisement passera par le pardon aux ancêtres pour enfin me libérer de ma rébellion face à la haine des hommes pour les femmes, de ma colère face à la haine des femmes pour les hommes. Le respect entre masculin et féminin n'est clairement pas ce qui dominait au sein des 2 branches dont je suis issue.

Je compte bien sur le travail à effectuer pour me débarrasser de ces colères sous-jacentes liées aux pouvoirs masculin et féminin pour m'alléger physiquement et m'incarner plus pleinement dans la matière.

 

Et vous, c'était quand la dernière fois que vous avez creusé l'histoire familiale ?

Amicalement,

S.

 

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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 23:55

Bonsoir,

 

Ce weekend, j'ai pu tester les limites de ma propre cohérence.

Comment avouer à une personne qu'on aime autant qu'hélas nous ne pourrons réaliser son rêve ? J'ai tellement mal de ne pouvoir lui dire : "oui je vais faire comme tu le veux pour te faire plaisir, parce que tu me souhaites ce que tu estimes être le meilleur". Je sais qu'elle m'a dit l'expression de son désir profond et j'aurais vraiment aimé lui répondre : "ce n'était qu'une sale passe, ça va mieux et on va reprendre l'histoire là où on l'avait laissé".

 

J'ai parfaitement conscience que malheureusement le chemin qu'elle aimerait pour moi n'est pas possible ni souhaitable. J'ai choisi de lui dire la vérité, enfin ma vérité. J'ai aussi choisi de taire une partie des raisons de cette décision. Je n'ai pas eu envie de la blesser davantage car elle est une personne rare, que j'apprécie et à qui j'apporte mon soutien sans compter. Elle est une femme formidable que je suis fière de connaitre et qui m'aime pour qui je suis et non pour ce que je suis.

 

Alors j'ai brisé les illusions que je voyais naitre en elle parce que ce n'était pas juste d'encourager un mirage. Elle mérite l'honnêteté à défaut d'autre chose. Je n'ai pas eu envie, par contre, de lui dévoiler à quel point elle est loin de se douter de la gravité de la situation, de ce que son souhait n'a aucune chance de se réaliser. J'ai omis de lui dire que je le regrettais, que j'aurais voulu pourtant accéder à sa requête, que ça me fait mal autant qu'à elle de renoncer à son rêve qui a aussi été le mien.

 

Je te demande pardon, un peu lâchement c'est vrai, car tu ne sais pas que j'écris un blog.

Je n'ai pas pu te dire l'entière vérité car elle était trop blessante et pas seulement pour moi ou pour elle mais aussi pour d'autres. Je n'ai pas voulu les éclabousser avec des informations sordides et privées. Je suis tellement désolée.

 

Et vous, quand avez-vous testé vos limites pour la dernière fois ?

 

Amicalement,

S.

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22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 22:20

Bonsoir,

 

Jeudi je me suis offerte une nouvelle rencontre avec moi même. C'est un cadeau que je m'offre régulièrement. Je rencontre donc des thérapeutes de différentes sortes en fonction de mes besoins. Face à une problématique qui surgit, je m'oriente vers l'un ou l'autre. Cette fois c'était un rendez-vous avec Martine.

Nous avons beaucoup échangé avant qu'un nouveau chemin non initialement programmé se dessine : il s'avère que je n'ai pas coupé le cordon avec ma Maman. Certes je ne suis pas la seule mais cela n'empêche pas que cela me dérange dans mon évolution, sans parler des impacts que cela génère sur mon entourage familial.

 

Seul souci ma petite fille intérieure refuse de lâcher ses parents !

J'ai dû aller à nouveau à la rencontre de cette petite fille qui avait grandi dans l'intervalle, mais se sentait encore responsable du bien être et de la protection de ses parents.

Contacter la petite fille que j'ai été me semble toujours aussi incongru. J'ai tout de même gagné sa confiance et elle se laisse désormais approcher.

Le nettoyage des émotions de l'époque est encore en cours par une méthode que je ne connaissais pas. Je pense qu'elle doit être assez profonde car j'ai beaucoup dormi ce weekend. La petite fille sélectionne elle même ce dont elle ne veut plus.

J'en suis encore étonnée moi même. L'allègement / transformation doit durer 48h.

 

Pour couper vraiment le cordon, je prévois de réaliser cette opération via la psycho-généalogie avec une amie dont je n'ai jamais testé la valeur professionnelle. Ce sera là aussi une merveilleuse surprise car je la sais délicieuse et à l'écoute. Ce sera un moment exceptionnel de partage et de joie. En attendant je dois faire mon arbre généalogique. Ce simple travail déclenche déjà de nombreuses réactions en moi : des images, des sensations (et pas seulement agréables). Je suis en pleine prise de consciences !

Je n'imagine pas travailler à mon bien être avec des personnes avec lesquelles je ne serai pas en totale confiance et pour les trouver, je me fais confiance.

 

Et vous, c'était quand la dernière fois que vous avez contacté votre enfant intérieur ?

Amicalement,

S.

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16 juin 2013 7 16 /06 /juin /2013 22:38

Bonsoir,

 

Lors du dernier salon auquel j'ai assisté, j'ai rencontré une femme délicieuse qui travaille la psychogénéalogie. Je ne connaissais pas la discipline mais ça m'avait bien parlé... après réflexion

Seul bémol pour moi, il faut réaliser son arbre généalogique, un challenge pour moi qui manque déjà de temps.

Je pensais tout de même l'optique de cette technique réservée à l'énergétique.

C'était avant d'avoir lu ça : http://www.psychologies.com/Famille/Relations-familiales/Parents/Articles-et-Dossiers/Les-secrets-de-famille-ils-pesent-sur-notre-destin/Les-non-dits-maitres-silencieux-de-nos-destins

Cet article propose aussi d'autres liens qui sont fort intéressants !

 

En béotienne, je ne songeais pas que ça pouvait avoir autant d'influence directe dans la vie de tous les jours. D'où l'idée de nettoyer ses racines littéralement;

 

Une de mes grandes difficultés est justement de m'ancrer et de m'incarner pleinement dans la matière. J'ai alors compris que comme un arbre, j'avais des racines qui ne remplissaient pas leur rôle comme elles l'auraient dû puisque polluées par tant d'histoires nocives. Comment descendre dans la matière quand les chaussures qu'on a aux pieds sont tapissées d'éclats de verre ? Même si on ne connait pas la nature du souci, on sent bien que c'est inconfortable, désagréable et donc on quitte aussi vite qu'on peut des pantoufles pareilles !

De plus, cela a des incidences sur toute votre famille, ascendants, descendants, collatéraux.

 

Bref je vais me faire prochainement le cadeau de décrasser mes racines et accessoirement à mes proches aussi.

 

Et vous, c'était quoi le dernier cadeau que vous vous êtes faits ?

 

Amicalement,

S.

 

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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 23:34

Bonsoir,

 

Une amie masseuse énergétique a attiré mon attention sur les commandes passées à l'univers http://changersoimemepourchangerlemonde.over-blog.com/article-livre-comment-passer-commande-aupres-de-l-univers-116102748.html.

Elle m'expliquait qu'on demandait ce que l'on pensait pouvoir obtenir donc qu'on se limitait à ce qui nous était connu. Nos filtres jouent donc à plein dans ce cadre là.

Exemple : demander un bonbon au lieu de demander des bonbons et garder les bras serrés contre soi au lieu de les ouvrir avec confiance pour en recevoir un maximum.

 

Aussi, désormais, je travaille sur l'abondance dans ma vie et aussi sur la disparition des limitations dans mes rêves. Sortir de ses conditionnements passe aussi par ce type de démarche.

Donc mes nouvelles demandes se termineront toutes par : ou mieux encore !

pour ouvrir davantage le champ des possibles entre le moment où je passerai la commande et sa réalisation dans la matière !

Pourquoi n'avoir qu'un éclair au chocolat si je peux avoir la pâtisserie et le fond de commerce en plus ?

 

Il est surprenant de voir à quel point nous rêvons à notre échelle quotidienne. De cette manière, on se prive de toute évolution importante puisque nous stagnons à notre niveau ou à peine plus haut, tout cela faute d'avoir une vue d'ensemble sur le massif que nous escaladons.

J'ai décidé de rêver grand, voire grandiose parce que ma foi, je mérite bien ça et je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas moi aussi rêver sans limite !

 

C'est aussi accepter d'ouvrir les yeux sur une direction qu'on n'envisageait pas auparavant. Certes gagner au loto n'est pas une commande valable aux yeux de l'univers, en revanche vouloir les fonds pour financer un projet qui nous tient à cœur (entreprise, maison, ...) et à visée évolutive est tout à fait acceptable. Il suffit de chiffrer le projet (pour aider déjà à sa matérialisation et à sa structuration) et hop !

 

L'énergétique n'a pas pour but de renforcer le monde ultra matérialiste et individualiste tel que nous le connaissons mais la matérialité n'est pas interdite non plus, au contraire.

Il est légitime de vouloir que ses idées deviennent réalité ! Nous sommes même là pour ça !

 

Et vous, c'était quand la dernière fois que vous avez fait un rêve sans vous limiter ?

 

Amicalement,

S.

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